Audrey a mis au point une pédagogie adaptée de haut niveau afin de transmettre avec qualité et rigueur la danse orientale Egyptienne à ses élèves.
Transmettre à ses élèves un enseignement technique expert et élaboré de la danse orientale Egyptienne :
Respectueuses des codes traditionnels des différents styles de danses orientales Egyptiennes qui lui ont été transmis, Audrey enseigne durant la première année les mouvements de base permettant d’intégrer à l’intérieur du corps les directions des lignes (axes horizontaux, verticalité, diagonales) et des courbes (circonvolutions, spirales…). Au fil des années l’élève intègre les directions et la technique puis les différents styles se précisent à leur tour.
Elle utilise la méthode holistique (ou globale) permettant aux élèves de vivre le mouvement dans toute leur corporalité, la méthode analytique leur permettant de comprendre le mouvement isolé et la méthode active qui part des acquis et des besoins de chacune, impliquant davantage l’élève dans son apprentissage.
Développer le potentiel créatif et artistique de ses élèves :
Pour que s’épanouisse l’intuition personnelle des élèves et que se développe la prise de conscience de leur schéma corporel Audrey utilise très peu le miroir (uniquement pour la technique analytique).
Danser en ronde, en défilé, dans toute la pièce, devant les autres en atelier création favorise le ressenti intérieur et l’autonomie de l’élève afin qu’elle puisse découvrir par elle-même sa propre danse, son propre souffle, son propre rythme.
Enfin, les démonstrations des acquisitions de fin d’années (chorégraphies) valorisent les créations des élèves.
Inviter ses élèves à se détendre afin de les relier avec leur corps dès l’échauffement :
La complexité d’exécution des mouvements de danse orientale tant au niveau technique qu’organique (mouvement sensible et profond) exige une préparation adaptée avant la danse. Audrey a mis au point et ne cesse de faire progresser une barre au sol (échauffement au sol) permettant à la danseuse d’exploiter au mieux et sans la contrainte du poids le travail de ses muscles et articulations.
Eveiller ses élèves au sens du rythme et les accompagner vers une écoute sensible de la musique orientale :
La danseuse orientale Egyptienne ne peut pas se rendre maître de sa danse si elle ne développe pas sa sensibilité aux rythmes orientaux et à l’art du maqâm (mélodie).
Audrey invite ses élèves, dans les cours comme dans les stages, à distinguer les rythmes dans une structure musicale et à les associer aux différents styles musicaux et styles de danses. Son répertoire musical est constitué principalement d’albums de musiciens qu’elle côtoie, avec qui elle danse ou étudie la musique orientale.